Le « 1060 » a, selon son bourgmestre, fait la fortune de toute une génération de spéculateurs immobiliers, ayant tiré un profit « indu » des efforts de réhabilitation ayant été entrepris par la commune. Rencontre en terre saint-gilloise.
Jean Spinette (PS) fulmine. Dans son bureau chargé en boiseries diverses, et aux meubles imposants – dans un édifice communal qui l’est tout autant –, le mayeur réélu, auparavant à la tête du CPAS Saint-Gillois et successeur de Charles Piqué, se lamente. Selon lui, sa commune est « au cœur de la spéculation foncière » qui touche la « ville néolibérale ». « La ville est devenue un business et plus un lieu de vie pour ses habitants », insiste-t-il. Son adjoint aux finances Willem Stevens observe, silencieux.
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