Dans le cadre de ce programme humoristique, le CSA a jugé que cette « erreur » « n’équivalait pas à une discrimination ou à une violation, par la RTBF, des obligations spécifiques qui lui incombent en tant qu’éditeur de service public. »
Le CSA explique également que: « Dans un premier temps, après analyse, le Collège a considéré que les critères jurisprudentiels déjà utilisés pour identifier un programme contenant des discriminations étaient remplis dans le cas présent […] Dans un second temps, le Collège a apprécié un élément essentiel qui distingue le programme des cas précédents sur lesquels il avait fondé sa jurisprudence. Il s’agit du caractère humoristique de la séquence concernée. Or, en matière de liberté d’expression, l’humour bénéficie d’une protection renforcée« .
Dans une réaction chez nos confrères de La Libre, Jérôme de Warzée déclare : « Évidemment, le plus important est que le droit à l’humour est préservé. Et, pour moi, l’humour est au service de la liberté d’expression. Donc là, dans mon cadre professionnel, je suis évidemment content. »
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