Les principaux indicateurs économiques vont dans le sens d’une réussite des politiques volontaristes du président libertarien. Il n’empêche, la journée d’hier a été marquée par une grève générale pour dénoncer la baisse du pouvoir d’achat subie par les plus modestes.
Depuis son arrivée au pouvoir en décembre 2023, le président Javier Milei subit, même s’il semble n’en avoir cure, un traitement de choc de la part de la presse internationale, prompte à dénoncer des mesures généralement qualifiées d' »extrémistes » – la personnalité iconoclaste du président, et ses affinités avec Elon Musk ne participant pas non plus à sa popularité auprès de celle-ci.
Il n’empêche, le président argentin peut désormais se targuer officiellement de présenter des indicateurs économiques laissant à penser que ses politiques touchent au but, en termes, principalement, de maîtrise de l’inflation et de diminution de la pauvreté ; les derniers chiffes officiels montrant un recul de celle-ci de près de 15% sur un semestre.
Baisse de l’inflation et de la pauvreté
Ces « bons résultats » n’ont pas empêché les syndicats argentins, contrôlés par l’opposition péroniste, de déclarer une grève générale touchant notamment les transports publics, les aéroports et les banques.
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