La présidente de DéFi (un siège à la Chambre) s’exprime sur les fraudes révélées au CPAS d’Anderlecht, sur le communautaire et sur l’identité de son parti. Elle ne souhaite pas non plus que la tache rouge vif du PTB s’étende à Bruxelles. Entretien.
21 News : Vous êtes la nouvelle présidente de Défi, comment avez-vous perçu vos premiers mois à la tête du parti et quelles vont être vos priorités ?
Sophie Rohonyi : Les premiers mois ont forcément été très compliqués, dans une ambiance très morose, notamment d’un point de vue humain, puisque nous avons dû nous séparer de certains de nos collaborateurs – une dizaine, décision actée par mon prédécesseur mais que j’ai dû assumer ensuite. Cela nous a renvoyé à une réalité très ingrate de la politique, à savoir que ce n’est pas votre force de travail qui détermine si vous gardez votre job, mais bien le résultat des élections, qui lui-même est influencé par l’actualité, par ce que les autres partis pourraient dire de vous, notamment, donc oui ; c’est là une réalité assez ingrate.
« La prison d’Haren est une catastrophe »
21 News : Vous avez eu le sentiment que votre propre travail à la Chambre n’a pas été payant ?
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